Resurexio2 est née d’une problématique différente de Resurexio1. En 2009, le clé USB était un peu plus répandu et la volumétrique des données à sauvegarder en ligne à exploser. Les sauvegardes en ligne étaient très lentes.

L’émergence d’un nouveau langage le Golang, que m’a communiqué un ami, a attiré mon attention. Les premiers essais et la philosophie du langage m’a séduit. Que pouvait m’apportait ce langage a l’époque :

  • Réaliser des taches multiples en même temps facilement. Sous les autres langages ont appelé ça des threads. Dans le cas de go l’avantage, ce sont les pipes de communication entre les différentes goroutine plus rapide à mettre en place.
  • Les erreurs de compilation plus facile à trouver. J’ai vu que les nouveau compilateur C permettait de faire ça.
  • Une variable déclarée qui n’est pas utilisé provoque une erreur.
  • Une communauté très experte dans les OS et dans la sécurité

Les soucis que l’on avait avec ce langage (faut bien des soucis).

  • Pas d’interface.
  • Plusieurs modules inexistants.

L’absence d’interface ne nous faisait pas peur. Car, j’avais le sentiment que toutes les applications devaient être porté dans les navigateurs web. Les modules inexistants comme les connexions SSH (avec proxy) ne nous posaient pas de soucis car la communauté allait le développer.

Il ne restait plus qu’à connaître les objectifs du produit.

  • Le produit doit analyser les changements de fichier en temps réel
  • Quand l’ordinateur redémarrer, il faut être capable de trouver les fichiers modifier très rapidement.
  • Créer une interface HTML compatible avec tous les navigateurs.
  • Créer un manager qui surveille les activités du programme principal et qui s’exécute depuis les services. Ça permet de faire les mises à jour proprement et de loguer les anomalies lier à un crash.
  • Passer tous les serveurs en openBSD et refaire les conteneurisations.
  • Pouvoir sauvegarde tous types de support aussi bien du FTP, du HTTP, des partages windows, …
  • Reconnaître les applications sur le serveur et créer une méthode de sauvegarde stable (Actuellement non fait ).

Proposer une sauvegarde à la vitesse de la ligne internet. Ce qui arrive dans tous les sauvegardes, c’est je sauvegarde ou je ne sauvegarde pas. Pendant que le logiciel sauvegarde en ligne, le réseau internet est saturé. L’idée était de ne pas couper la sauvegarde mais la ralentir, afin que les utilisateurs est toujours accès à leurs emails sans couper la sauvegarde.

L’autre idée que les autres sauvegardes ne faisaient pas, c’est la sauvegarde fragmentée. La sauvegarde fragmentée n’est pas une sauvegarde complète mais une sauvegarde découpé sous forme de taille de fichier. Les petits fichiers sont toujours prioritaires sur les gros fichiers, du coup tous au long de la journée les fichiers excels ou sage sont sur d’être sauvegardé dans la journée mais si un fichier pst (les gros fichiers outlook) ne l’est pas.

C’est comme cela que resurexio2 voit le jour avec une interface modeste HTML en 2011, du coup peu commercialisable. En attendant, j’ai vu que sur les synology tous être full HTML en utilisant le firmware ExtJS. C’est comme cela qu’est née le plugin Go/Extjs avec de nouvelle perspective de développement. L’interface fut fini en 2013.

En 2018 voici les caractéristiques de resurexio:

  • Copies des fichiers des petits fichiers en priorités
  • Copies via plusieurs lignes internets
  • Copies immédiat, exemple sur rsync il faut quelques minutes avant une copie.
  • Réparation des fichiers à copier plus rapide que sur les autres logiciels ( go permet de parser les dossiers très rapidement)
  • Blockeur de transfert quand les fichiers sont repérés cryptés, ce qui évite que les ranconwares puissent remonté sur les sauvegardes.
  • Copies peut être limité sur une plage horaire exemple ( les heures de travail)
  • Connexion à une blockchain privée sur mesure.
  • Possibilité de crypter les données à l’origine résistant aux machines quantiques ( en cours homologations sur NIST en 2019).
  • Interface pour être manipulé a distance grâce à son interface web.
  • Connexion au réseau Sia sur blockchain permettant une prix de 2e/To